La terre se frottera encore les plaques. Dans un tintamarre titanesque. On trébuchera dans ses crevasses, ses brisures, ses blessures. Meurtris et oubliés dans ses plaies d’abîmes.
Tout s’écroulera sur nous. Même le ciel sur nos parcours.
Mais toujours la vie se faufilera, jusqu’au chant de l’oiseau.
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J ai lu, j ai vu le tintamarre titanesque et j’ai entendu le chant des oiseaux. Merci 🙂
Merci à toi 🙂